Les préoccupations des participants au DNIS demeurent toujours la bonne gouvernance et l’Etat de droit dans le sens propre du terme.
Pour prendre en compte les actions prioritaires, les participants ont mis un accent particulier sur la refondation du système scolaire prenant en compte tous les aspects. Aussi, celui d’un système sanitaire en tenant compte les infrastructures de qualité. De même, la question de l’énergie qui est la base du développement socioéconomique est passée au peigne fin. Certains participants ont suggéré l’ouverture du marché de l’énergie et la dissolution de la Société nationale d’électricité.
Le chômage des jeunes selon les délégués est une bombe à retardement si le gouvernement de transition n’y prend pas garde. Le phénomène d’inondation à répétition, les affaires étrangères axées sur la révision des accords avec les partenaires au développement, la mise en place d’un mécanisme de suivi-évaluation des institutions de l’Etat et paraétatiques sont longuement débattus.