Dans une intervention sur les politiques publiques sectorielles, Nocky Ndjédanoum demande qu’une résolution encourageant le législateur tchadien à initier une loi exigeant que les œuvres d’art du Tchad lui soient restituées. Il a notamment cité la France qui en détient l’essentiel. D’après lui, les pays comme le Bénin l’ont déjà fait. C’est une question d’identité mais aussi de beaucoup d’argent.
Dans la même lancée, Nocky Ndjédanoum souhaite aussi qu’un plaidoyer soit engagé auprès de l’ONU et de L’UNESCO pour reconnaître au Tchad un statut particulier de berceau de l’humanité ; car le premier homme sur la terre est parti du Tchad.