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DNIS : « Le dialogue ne peut pas régler tous les problèmes », Cheikh Abdeldayim Abdallah

Le vice-président du Conseil supérieur des affaires islamiques (CSAI), Cheikh Abdeldayim Abdallah, a relevé que dans le dialogue chacun donne son avis et son opinion. « Comme il est souverain, il n’y a pas de camp dans la salle. Chacun dit ce qu’il pense mais finalement on doit voir ce qui peut faire avancer le pays dans l’intérêt de la nation ».

Pour lui, « si j’avance mon avis et que ce n’est pas pris en compte, je ne peux pas me fâcher ». Cheikh Abdeldayim Abdallah précise que s’ils ne prennent pas en compte son avis aujourd’hui, un jour ils le feront si c’est pertinent. Le dialogue ne peut pas régler tous les problèmes, souligne-t-il.

« On élabore une feuille de route et après il y aura un comité de suivi pour l’application des résolutions. « Chaque corporation va faire des propositions. Le bureau a mandat de diriger les travaux mais c’est nous qui apportons nos avis. On va voir ce que nos frères du CODNI vont sortir et après la plénière va amender ».

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